01/09/2013 – Martial POOS – La Gaumaise 2013
Il est 6h10, le réveil me rappelle qu’il est temps de se lever. Petit passage par la salle-de-bains, déjeuner pas trop copieux et me voilà parti vers la Gaume. Il est 7h10 lorsque je me gare en face de l’ancien lavoir de Sainte-Marie sur Semois. Je m’inscris et attends mes deux compères ….. Bizarre, personne à 7h30. Cela ne ressemble pas à René d’être en retard. J’attends encore 10 minutes et décide de partir seul. Il fait frais ce matin, j’aurais dû passer plus de temps à chercher mes « brassières » hier soir. Sur la route de la Croix-Rouge je suis interpellé par une camionnette de police, ils recherchent un véhicule dans le fossé, rien vu je continue. La descente vers Meix ne me réchauffe pas, au contraire. S’en suit deux ou trois petites grimpettes qui vont bien vite me faire oublier les picotements aux bras. Je suis seul, je profite des bénéfices de mes dernières sorties en solitaire pour pousser du braquet. Les routes sont quelque peu dégradées mais assez roulantes. Passage par la France, les routes sont plus belles. Le soleil commence à pointer le bout de son nez assez haut pour que j’en profite largement. Les traversée des champs et forets offrent de belles vues. Me voici à présent à Ecouviez, un chevreuil profite d’une prairie pour brouter, je m’arrêterais bien pour le regarder mais je préfère regarder mon compteur qui affiche une moyenne proche de 30 km/h. Petit détour par Torgny, très joli village avec ses façades typiques en pierres jaunes de la Gaume. Nous voici de retour en France, Veslones nous propose une grimpette que j’englouti relativement facilement. Au loin j’aperçois maintenant Montmedy. Je m’attends à l’escalader mais non, nous faisons le tour. Je rattrape de temps à autres un cyclo, cette fois c’est un gars de Bertrix. Arrivée au ravitaillement, je mange rapidement un quartier d’orange et un morceau de galette. Rien ne sert de traîner, les jambes tournent bien et j’ai encore assez à boire dans mes gourdes. Voici à présent la majestueuse cathédrale d’Avioth, je sais que dans quelques kilomètres la route va s’élever. En effet, me voici à Fagny, je me doute que je vais laisser l’église du village sur ma droite et commencer une des dernières côtes du parcours. Le début est assez pentu puis devient assez roulant sur la fin. Plus personne à l’horizon depuis une bonne demi-heure, cela me motiverait de voir un ou deux cyclos, histoire de les reprendre. Bifurcation : 72 ou 102 kilomètres ? Je décide me lancer sur la moins grande des deux distances. Passage par Limes puis direction La Soye. Les routes sont de plus en plus mauvaises. La route s’élève en direction de Bellefontaine et cela continuera jusque l’arrivée. Il est 10h15 lorsque je me retrouve devant le lavoir, je m’étire suivant les conseils de mon médecin et me dirige vers la salle pour avaler un orval bien frais. Je discute quelque peu avec les organisateurs, heureux avec les presque 180 inscriptions. Retour vers Libramont, je me connecte sur le site pour constater que Cyrille a décidé ce matin de ne pas se lancer sur le 102. Pas de nouvelle de René, ce sera pour une autre fois.
A plus pour de nouvelles aventures. Martial
06/01/2013 – Martial POOS – Dimanche 06 Janvier – 8° – 20 Vélo-Passionnés…
Troisième sortie du Club ce dimanche et l’on peut déjà affirmer que ce fût une réussite sur toute la ligne. Nous sommes donc vingt ce matin devant l’église de Vaux (permettez-moi de ne pas les citer tous), tous emmitouflés dans nos cagoules, gants et autres artifices (même si le bas collant de Jean-Claude a bien du mal à tenir sur sa cuisse). Il fait doux ce matin et il ne bruine pas. Nous partons groupés vers Wideumont, mais à peine deux kilomètres de parcourus et Claude nous signale qu’un nouveau vient de casser une pédale au départ. Nous continuerons donc à 19 pour une « balade » d’une cinquantaine de kilomètres. Jean-Claude se tracasse de la distance (mais il tiendra le cap comme à chaque fois), il est vrai que cela fait plusieurs mois que lui et moi n’avons pas roulé … avec les copains. La boucle de 15 kilomètres avalée, nous nous dirigeons vers Cobreville. Les discussions vont bon train, on parle de tout et de rien, les soldes (eh oui, même certains mecs parlent des fringues), les congés, les réveillons, les voyages, … chacun y va de sa petite blague tout en avalant les miles de Jean-Claude (faut vraiment que tu configure ton chrono). Petite halte au terrain de Chaumont, un petit groupe décide de ne pas se ravitailler afin de prendre un peu d’avance. Nous retrouverons leur sillage quelques bornes plus loin, après une petite escapade solitaire de Jean (qui ne changera donc jamais…). On roule bien même si la moyenne n’est pas si élevée mais cela ne nous tracasse pas, tant que l’on s’amuse sur notre bécane. Retour par Morhet, René tente (et parvient) de contenir les troupes dans la dernière montée. Nous sentons tous l’écurie, les gros bras (et mollets) prennent les devants, chacun essaye de suivre le rythme de Dimitry, Bernard et compagnie. Descente effrénée vers la place du village, Pipo prend note des présences afin de compléter le fameux challenge Louvigny. Nous nous retrouvons à une douzaine autour d’un pot mérité chez Rose, les vannes fusent (oui Pipo, je me suis rasé), les nouveaux arrosent,… La motivation est bien présente et cela fait du bien de retrouver un groupe soudé (pourvu qu’ça dure…).
Allez, à bientôt pour de nouvelles aventures.
Martial le libramontois
16/08/2012 – Martial POOS – La suzeraine 2012
Une bonne vingtaine de cyclos sont au départ ce matin afin de prendre part à la randonnée concoctée par Bernard. Une mise en jambe de 40 kilomètres est proposée avant de se délecter sur le circuit de 4 kilomètres en mode « course ».
C’est donc groupés que nous nous élançons vers Vesqueville avant de nous diriger vers Saint-Hubert. L’allure est bonne et le vent ne s’est pas encore levé. Une première petite difficulté s’offre à nous en entrant dans Lorcy avant de traverser calmement Arville. Direction ensuite Poix-Saint-Hubert et la première « grosse » difficulté pour relier Smuid. Le peloton s’étire et les « plus forts » prennent la tête des opérations, la traversée du village est relativement longue et ardue. Nous nous regroupons enfin à la sortie du village afin de boire un coup et manger un morceau. Nous descendons alors vers Libin et ensuite direction Hatrival. Au passage à niveau Dimitri est en tête mais la remontée est longue et à nouveau le peloton s’étire, les kilomètres s’accumulent et il faut bien avouer que le circuit de Ben est loin d’être de tout repos (faudrait qu’il le trace en vélo l’an prochain). Nous rejoignons alors le ravitaillement en passant par Bras-haut. C’est ici que les gros bras vont se disputer les lauriers (virtuels). Un petit groupe de 9 cyclos prend la tête (le petit-fils de José, Jean-Michel, Thibaud, Jief2, Bernard C et Bernard W, Jean « arrivé d’on ne sait où », Dany et moi). Après un tour, une gigantesque mine est déposée par Bernard W, le groupe s’éclate. Je suis le premier décramponné suivi de Bernard C, au tour suivant nous apercevons Bernard W et Jean en « perdition ». Bernard décide d’arrêter les frais et se rend sous la douche pendant que Jean essaye tant bien que mal de recoller au gros bras. Au 4ème tour, nous le reprenons et achevons le circuit à trois. A l’avant la bataille est rude, il reste Jief2, Jean-Michel, Dany, Thibaud et le petit-fils de José. Au 5ème tour nous décidons à notre tour d’arrêter les frais afin de pouvoir acclamer le vainqueur. Ils arrivent enfin devant la maison de Ben et son épouse. C’est le petit-fils de José qui déboule en tête suivi de très près par Dany. A quelques longueurs arrive Jean-Michel qui lance dans un cri de désespoir : « j’ai déchaussé au tournant… » suivi de Jief2 et enfin Thibaud. S’en suit une partie bibitive, tous assis à la terrasse improvisée. Et dire que j’avais tout misé (virtuellement bien entendu) sur Dany, pffff quelle poisse ce problème technique de Jean-Michel …
Allez, à dimanche pour une sortie « plus calme » mais espérons tout aussi amusante.
Martial
02/08/2012 – Martial POOS – Valansart, petite randonnée sympa (sauf pour Jean-Mich ?)
Dimanche 7h30, Jief2 me rejoint devant la maison et nous partons vers le lieu de départ de la randonnée. Après une petite demie heure, nous arrivons à Valansart où nous serons bientôt rejoints par Thibaut, Pipo et José. Le départ est calme, nous roulons groupés, passons devant l’abbaye d’Orval (où Pipo voulait faire un arrêt festif). Détour par la France où nous arrivons à la première difficulté de la journée. Une petite (quoique pas si petite que cela) grimpette s’offre à nous. Je m’attends fort logiquement à fermer la marche mais apparemment la sortie du samedi de Pipo laisse des traces, je termine dans les roues des cyclos de Bellefontaine avec qui nous roulons depuis quelques kilomètres. S’en suit une dizaine de kilomètres peu vallonnée où nous en profitons pour discuter quelque peu de tout et de rien. Au loin je reconnais Montauban. Jief et Pipo ouvre la marche mais rate une bifurcation, j’en profite pour entamer la côte avec Thibaut et José. Jief en toute grande forme nous rejoins assez rapidement. Me voilà transformé en Wiggins avec deux Froome à mes côtés, je ne me laisse pas dépasser, nous simulons tout en riant une écoute à l’oreillette avec notre entraîneur (virtuel). Arrivée au ravito, nous constatons que 5 orval sont placés au frais dans la fontaine du village. Malheureusement ils ne seront pas pour nous mais, bien pour les deux courageux membres du club organisateur. Par contre, ils ont pris la peine de coller sur un banc la page de l’Avenir du Luxembourg concernant notre ami José. Nous repartons repus de cette halte. Direction Meix-devant-Virton mais avant cela, une ou deux petites difficultés franchies sans problème. Voici Lahage en vue, Thibaut propose de parcourir cette dernière difficulté en groupe (quelle bonne idée que celle-là). Retour sans trop de problème vers Valansart en traversant quelques jolis petits villages. Nous rangeons respectivement nos vélos et nous dirigeons vers la tente dressée à l’occasion de la fête du village. Nous nous délectons d’une petite bière en attendant les courageux du 105 kilomètres. Après une vingtaine de minutes Jief aperçoit les vélo-passionnés, Jean-Michel, Jacques et Pierre Duterme. Nous les accueillons avec joie pour prendre un verre ensemble, mais pas de Jean-Mich à l’horizon, il avait un barbecue prévu ; mais est-ce la véritable raison de son absence ??? Il aurait connu, parait-il, un jour sans dans la montée de Lahage et notre ami Jacques en aurait « lâchement » profité pour le laisser sur place sous les yeux ébahis de Pierre… Ah pauvre Jean-Mich, je me mets à sa place, un des hommes forts de notre Club devancé par un Jacques diminué après une semaine de montagne. Sont-ce les vacances espagnoles sans vélo ?? Que cela doit être dur à encaisser. Enfin ce sera peut-être pour l’an prochain qui sait. S’en suit une franche rigolade autour d’un dernier verre avant de rejoindre nos épouses. Allez, à bientôt sur les routes pour de prochaines aventures.
Martial
25/06/2012 – Bernard CLAUSSE- Ardèche 2012
Notre ami albert daco ayant dû renoncer pour cause de tendinite, nous serons donc 6 vélo-passionnés pour ce rendez-vous sur les routes de l’Ardèche que nous avons voulu parcourir en 3 jours : claude, jean-claude, pascal dit pipo, marc, josé et bernard. Rendez-vous chez claude le mercredi matin à 07h00, traversée au ralenti du GDL, passage obligé pour le dîner à nuits-st-george et 1er passage par saint-félicien pour le retrait de nos dossiers seront au menu de ce jour. Nous nous fions alors à la voix bien féminine sortie du gps de pipo pour nous rendre à notre gîte : erreur fatale – des kms faits pour rien – des descentes abruptes empruntées : une bonne carte n’est jamais de trop dans ces cas-là. Arrivés sur place, nous découvrons le nouveau gîte de Yannis et de son épouse : en pleine campagne, avec piscine, endroit magique pour un dépaysement assuré ; accueil toujours aussi chaleureux de nos hôtes, confort assuré pour les chambres et table toujours aussi bien garnie.
Jeudi, réveil matinal, petit déjeuner copieux, parcours vers saint-félicien par un chemin beaucoup plus court, dépose des bagages. Déjà beaucoup de monde sur ces parcours en 3 jours. Il fait frisquet mais le 1er col de la journée de 11 km nous réchauffera vite. Et dès les premiers villages traversés, tables garnies, sourires chaleureux, enfants enthousiastes sont au menu. Les cols aussi sont au menu, certains courts et pentus, d’autres plus longs. Nous nous arrêtons à beauvène pour le repas de midi : menu complet y compris apéro, vin et café. Repartir sera un peu dur sous un soleil qui tape et un vent parfois violent. La route monte, l’allure se fait moins vive et les rires moins forts ; passage au col de la fayolle sous un vent d’enfer et plongée de 6 km (qu’il faudra refaire le lendemain mais en montée) vers notre 1er étape : saint-joseph-des-bancs. 140 kms pour ce 1er jour, 2400 m de dénivellé. Accueil très convenable dans une maison de village : couvert – douche – literie sont à notre goût. Des cyclos de toutes nationalités arrivent les uns après les autres. Nous faisons connaissance avec un français de la drôme qui (ne) regrettera (pas) de nous avoir rencontrés. Déjà à ce moment, il tirait de grands yeux en voyant la forme de jc, surtout à table. Direction le lit sauf pour jc et marc qui, comme d’habitude, ne sont jamais les 1ers à quitter la table. Pour info, ce jour, nous avons dépassé un cyclo qui transportait avec lui tout son harnachement y compris une pompe à pied : drôle de spectacle que de la voir dépasser de son sac à dos !
Vendredi matin, notre « français » veut « tirer » sur tous les sangliers belges (moi le premier) qui l’ont empêché de dormir pendant la nuit. Quelques bonnes blagues et le voilà partant pour nous accompagner une partie de la journée sur notre trajet commun. Nous quittons donc notre logis pour nous retaper la descente de la veille et rejoindre le parcours. Toujours autant de vent. Une longue descente nous amène à privas. 1ère difficulté de la journée : col du benas, 13 km, jc un peu en difficulté mais cela passe. En haut une équipe de bénévole nous accueille sous un vent violent ; ils sont partout ces ardèchois, quelles que soient les conditions, on ne peut que s’incliner devant tant de dévouement. Longue descente qui nous amène dans la plaine aux environs d’aubenas. Spectacle assuré à saint-privas : une joyeuse bande d’indiens (d’inde) nous en met plein la vue, sans doute la plus belle animation du parcours. Les appareils photos crépitent. Nous arrivons à val-les-bains, 2ème difficulté de la journée : col de genestelle, 12 km, il fait chaud, la pente est très rude au début, jc tient le coup. Arrivés au sommet, un panneau indicateur nous apprend (cela je le savais déjà) que nous nous trouvons à 5 km de notre point de départ matinal ! Mais comme dirait josé, on ne coupe pas ! on plonge sur antraigues où un bon picon bière, une bonne assiette de charcuterie et un bon rosé nous serviront de repas de midi. Nous quittons notre ami français qui nous souhaite bonne route, surtout à jc qu’il ne trouve pas en grande forme ; ah s’il savait la suite ! Après avoir visité la tombe de jean ferrat enterré dans ce village, nous rejoignons le flux des cyclos venus du col de mézillac et entamons la 3ème difficulté de la journée : col d’alzac, 3 km mais un pente de 8%, dur dur. Notre petit groupe se scinde souvent –à ne plus refaire- dans le long faux plat qui nous mène au plat de résistance de la journée : col de la croix de bauzon, 20 km, dénivellé 1000 m ; au dernier ravito, jc part 5 minutes avant le groupe, on ne le reverra plus, il tient la forme. Je fais la montée avec marc, les autres suivent. Au fil des kms, nous trouvons que jc est vraiment en bonne forme, on ne le rejoint pas, on commence à douter… Arrivés au sommet, pas de jc. Nous hésitons sur la marche à suivre et décidons de rejoindre le terme de l’étape . Une dernière surprise nous attend : le col du pendu, aussi 3 km à du 7%, dur dur. Il est 19h00. 150 kms pour ce jour, 3000 m de dénivellé. Et toujours pas de jc. Nous prenons nos quartiers dans un bâtiment au confort très très limite et soupons, du moins ceux qui apprécient des pâtes et du poulet pas très attirants ou qui ne sont pas trop fatigués. 21h00 : arrivée de jc et de son histoire : au susdit ravito, jc s’est trompé de route, a monté un col de 7 km et arrivé au sommet s’est couché dans l’herbe au soleil en attendant ses compagnons. Ne les voyant pas arriver, pris d’un doute sur sa propre forme, est redescendu au ravito où une aimable personne l’a remis dans le droit chemin ; résultat « des courses » il s’est tapé, seul, plus de 1500 m de dénivellé, sans gsm, heureusement qu’il savait où il devait loger, sinon …..Tout est bien qui ….
Samedi, après une très mauvaise nuit (mon sommier étant complètement « nasse », j’ai dormi sur le béton) nous reprenons la route vers le gerbier de jonc, parcours agréable sans réelle difficulté hormis le col de gage, ses 2,5 kms et ses 6%. Accueil très chaleureux à sainte-eulalie où, dans l’ascension du gerbier de jonc, les 1ers randonneurs du samedi nous rejoignent. Nous plongeons alors sur le parcours du retour commun à tous les « ardéchois ». Longue descente vers saint-martin, les routes sont bondées. Nous nous y attablons pour le repas de midi, il suffit de se servir aux tables de ravitaillement prises d’assaut, pain, fromage, sausisson,…Nous entamons la longue montée vers sainte-agrève, 17km, 600 m de dénivellé ; il y a du monde, du beau monde, cela frotte parfois ; jc touche la roue de claude, se retrouve par terre, un cyclo tombe sur sa roue arrière : genou abîmé, roue voilée, pansements, réparation, jc se souviendra de ce séjour ; après un arrêt à sainte-agrève où il est procédé à la réparation du genou et du vélo de jc, nous grimpons à rochepaule : nous y attendons jc et claude un peu en retard, et pour cause, ils buvaient une bière à l’entrée du village pendant que nous les attendions à la sortie. Dernière difficulté : le col des grands suivi de celui de lalouvsec, 9 kms, 450 m de dénivellé : il fait chaud, beaucoup sont à pied dans ce dernier col,..longue descente vers saint-félicien : je n’ai rien vu (je suis pas fanatique des descentes) mais il paraît que claude, marc et jc s’y sont éclatés ; 140 kms pour ce 3ème jour et 2200 m de dénivellé.
Après quelques bières réparatrices et le retrait d’un beau diplôme, nous rejoignons notre gîte, une bonne douche, une plongée dans la piscine pour certains, un bon repas, le rappel des anecdotes et des (més)aventures de certains. Nous devons encore souligner le très bon accueil de nos hôtes. Nous vous les recommandons pour une étape ou pour tout autre séjour, adresse auprès de claude. Le retour dimanche se fera sans difficulté, pas de circulation, à la maison à 16h00.
J\’arrive à Sainte-Marie et j\’aperçois un jaune qui n\’est autre que Jean-Frédéric. Je me gare derriére lui, personne d\’autre en vue. Nous nous préparons alors qu\’il reste au moins 20 minutes avant le départ. En jetant un coup d\’oeil vers la salle, je vois un groupe de jaune dans lequel se trouvent René, Claude, José et Pascal. Ils ont déjà été boire leur petit café. Nous nous rassemblons et attendons 7h30, l\’heure officielle de départ. La température n\’est pas fort élevée et je suis le seul à partir sans manchettes. Les premiers km sont roulants et nos deux compères de la rue du Moulin sont souvent devant et impriment une cadence qui en surprend plus d\’un. René qui est en manque de vélo (voir km annuel ) et Claude qui, à mon avis, est belle et bien remis du Mont Chauve se relaient régulièrement, et nous on essaye de suivre. La première côte à Moyen, mous fait tous bien ralentir et celle de Chiny, juste avant le ravito, éclate notre groupe dans des proportions très limitées. En arrivant à Muno mon compteur affiche une moyenne de 27.4 mais cela ne va plus durer longtemps car arrivent les côtes de Watrinsart et de Lambermont qui nous ramènent vers Florenville. A la sortie de la localité nous prenons une petite route qui va vers Chameleux, une longue descente sur une pu…de route. La sortie du village pour rattraper la grand-route Florenville-Orval n\’est pas piquée des vers non plus (2km à 5% de moyenne et 11% max ). Je profite de ma bonne descente pour attaquer la montée devant avec JF et Claude. Dans la partie la plus dure j\’entends le claquement de la pédale de JF s\’éloigné de plus en plus. Au sommet, après quelques dizaines de secondes arrive JF suivi de Claude,René,José et Pascal. Les deux dreniers cités ont décidé de faire les côtes à leurs rythmes et ne plus bourrer dedans comme au début. Deux km plus loin se trouve le second ravito, juste avant Orval. Tout en se ravitaillant certains consultent la feuille de route et constatent que cela va méchamment se compliquer car plusieurs côtes vont se succéder une derrière l\’autre. En +/- 20km,5 côtes sont au programme. La côte D\’Orval, la côte de Gérouville, la côte de Sommethome, celle de Villers-la-Loue et enfin et pas la moindre, celle de Monquintin. A mon avis cette drenière va en tuer plus d\’un. Pour moi, pas de probléme mais presque tout le monde commence à payer le tempo du début de rando. René qui pour un vrai retour aux affaires nous confie qu\’il voulait taper dedans le plus longtemps possible. Il va tenir 100km mais alors les derniers km vont être très pénible, jusqu\’à souffrir de crampes à la sortie de Houdrigny. Claude aussi dit souffrir de début de crampes. A oui les gars, on flingue au début et après on se traîne jusqu\’à l\’arrivée. Pascal est un peu mieux et José m\’avoue qu\’il a eu aussi dur de rentrer et tout cela à cause des 50 premiers km. Le seul qui me paraissait le plus frais, n\’est autre que Jean-Frédéric qui m\’a suivi en fin de parcours, alors que j\’étais en chasse sur 3cyclos qui essayaient de nous fausser compagnie. Leurs efforts fûrent vains, et à peine le temps de faire le trou, qu\’à notre grand étonnement l\’arrivée se présentait devant nous. Comme dans toutes nos randonnées, tous les commentaires sur notre sortie étaient analysés autour d\’une table garnie d\’Orval et de Blanche Rosée. La seule critique qui fit l\’unanimité était l\’état déplorable de certaines routes en Gaume. Avant de partir je donne rendez-vous à José pour le lendemain, et nous serons les seuls à braver la pluie du dimanche, tous les autres inscrits ne ferons pas le déplacement.
JEAN-MICHEL
05/06/2012 – Claude PAUL et José CAMBRAI – Week-end au Ventoux 2012…
LA VENTOUX – JOUR 1
A 03 :45 devant chez René et Claude embarquement : voiture 1 René avec les passagers Claude,Dany et José – Voiture 2 Guy qui prendra Jean-Michel à Winville et Pierre à Arlon.
En route pour Pierrelongue soit à 900 km où nous sommes attendus par les aubergistes Fabienne et Michel. Voyage sans problème, petits bouchons après Lyon.
Comme les autres années repas du midi (à 14 :00) à Vaison-la-Romaine : apéro 2 pastis magret de canard, 3 verres de rosé. Puis installation à Pierrelongue chez notre aubergiste. Répartition des chambres : Rene et Guy, Dany Pierre et Jean Michel, Claude et José.
Tenue cycliste et vers I6 :00et en avant pour 68km avec 8II m de dv avec 3 cols, Col de Fontaube, col des Aires et col d’Aulan, 5 à 6 % avec des vues magnifiques, surtout le dernier des gorges profondes en bordures des routes et au sommet bien dégagé une petite idée du Ventoux redouté et attendu de demain. Le groupe est super le temps pas mal, que du bonheur.
Nous sommes revenus par la vallée, légèrement en descente pendant 20 km l’allure est vive, 23,5 de moyenne avec 3 cols pas si mal. Rentrée à l’hôtel, terrasse,3 Leffes, une bonne douche, il est déjà l’heure du repas du soir. 2 pastis un bon repas du vin(Je ne sais plus 3…4…….?….) … Le resto était bien occupé, les clients interloqués pas une ambiance pas
croyable avec un Jean-Michel aux commandes.
Ce fut une belle soirée, vers 2230hr dodo. Comme préparation j’ai déjà connu mieux.
Suite demain……..avec normalement le Ventoux.
Samedi 19-05-2012 – Mon dernier Ventoux !!
Il est 7 heures, les cloches de l’Eglise N.D. de la Consolation réveillent les 319 habitants de Pierrelongue. Je dirais même les 326 avec les « fous de belges » dixit le patron de l’hôtel qui n’a jamais compris notre obstination à gravir tous les ans le Mont Chauve ! Il se nomme Michel, un sacré phénomène, une grande « gueule » comme on dit chez nous mais combien sympathique. J’ouvre les volets et admire la petite Eglise perchée sur les ruines d’une ancienne forteresse de l’an 1400 avec comme fond de toile la montagne et un ciel bleu en en faire pâlir le président du MR. Mon compagnon de chambre – José – s’étire de tout son long comme un félin prêt à bondir …. sur son vélo. Malgré qu’il ne compte plus les nombreuses ascensions dans sa carrière de cycliste, ce grand sportif ne raterait pour rien au monde cette journée. Voilà déjà quelques années que nous partageons la même chambre et cela devient tellement une routine que lors de notre arrivée, sans un mot, chacun a pris possession des lieux tout naturellement. Vêtus de notre beau maillot jaune, nous retrouvons nos compères dans le restaurant de l’auberge ; une pièce simple avec une douzaine de tables, un bar improvisé dans un coin, les murs garnis d’anciennes plaques métalliques à l’effigie de cacao, de café, de confitures ce que nous retrouvons aussi sur la table du petit déjeuner. Fabienne (la patronne) apparaît subitement par la porte basculante qui donne vers la cuisine, une thermo de café dans une main et un bol de lait chaud dans l’autre pour Dany dit la mobylette. Est-ce l’appréhension de la journée à venir, la fatigue des jours précédents, les excès de la veille qui tourmentent la bande d’ardennais … c’est le calme plat avant la montée ! René réveillent tout le monde : « départ dans 30 minutes ».
Même pas ce beau temps, au sommet du Ventoux, la température est fraiche en cette période de l’année, c’est pourquoi je prévois une veste, un bonnet et des gants. Nos casquettes visées sur la tête, nous rejoignons le reste du peloton et direction la montagne. Je soupçonne Michel, caché derrière son volet, murmurant à Fabienne « Mais, ils sont fous ces belges ».
Le trajet jusque Malaucène, sinué et vallonné, n’est pas le tronçon le plus agréable car la circulation est dense. Nous entrons dans la ville entre deux rangées de platanes, un boulodrome sur la gauche me laisse supposer que la pétanque doit être un sport moins éprouvant que la bicyclette. Pas le temps de rêver au pastis, aux boules et au cochonnet que nous sommes déjà au pied du col de la Madeleine ; bonne entrée en matière avant de s’attaquer au géant de Provence. Arrivée sur la petite place de Bédouin baignée par le soleil. Chacun s’alimente, se désaltère et c’est parti ; Guy et Pierre se sont élancés les premiers et sont déjà dans la montée lorsque je quitte la ville L\’ascension débute en pente douce à travers les vignes et les vergers pendant 6 km et la seule difficulté de cette première partie est une pente proche de 6 % au niveau du hameau de Sainte-Colombe. Le groupe de costaud se forme comme prévu : Jean-Michel, Dany et René ; José prend tout de suite leur sillage et m’invite, par un signe de la casquette, à le suivre. Dés cet instant, j’ai compris … que j’allais souffrir plus de deux heures dans les méandres de cette montagne …
Très vite, le groupe s’éloigne, 100 mètres, 200, 500 et puis il disparaît au loin ; et dire, que nous sommes avant le fameux virage de Saint Estève où les choses sérieuses débutent. J’ai encore lu la veille dans une revue un article qui dit « Mais lorsque l\’on passe l\’épingle du Saint-Estève au km 6, la rupture est nette, il faut mettre un braquet plus petit car on entre dans la forêt avec presque 10 km à 9 % de moyenne avant de parvenir au Chalet Reynard ». Mais je connais cela par cœur, c’est peut-être ma quinzième ascension ; allez, courage. Mais, je n’ai pas l’impression d’avancer et portant je reviens lentement vers nos deux échappés ; quelques mots d’encouragement et je me traîne (et oui, déjà) jusqu’au virage de St-Estève où José m’attend. D’un coup de poignet brusque, je bascule sur le 32/25 et je murmure à José : « Ne m’attends pas ». « Pas question, on fait l’ascension ensemble » me rétorque t’il. Je m’accroche tant bien que mal mais pas possible, je ne sais même pas imiter Poulidor ! Après quelques kilomètres et tout naturellement, José s’éloigne ; avec sa forme du moment, il aurait pu gravir la montée sous les deux heures. A la sortie d’un virage, je sens le souffle de Pierre dans mon dos mais il devra attendre le Chalet Reynard pour me doubler. Que c’est long, que c’est dur de se battre avec son vélo. Mais, je ne me suis jamais mis dans le rouge, j’ai pris un rythme de croisière, certes lent, mais le but n’est-il pas de parvenir au sommet ? La tradition est respectée, José fait sa halte au Chalet et j’en fais de même. Pierre en profite pour me doubler, je ne le reverrai plus avant l’apéritif. J’invite José à continuer sans moi, je suis plus un poids mort qu’un équipier.
À partir de ce chalet, il reste 6 km avec des cailloux à perte de vue. Les pourcentages sont moindres par rapport à la forêt mais on est parfois exposé au vent et l\’oxygène se raréfie pour ceux qui ne sont pas habitués à la montagne. Je pense à Guy qui doit, lui aussi, peiner quelques hectomètres plus bas ; je pense à Dany pédalant comme un moulin à vent et s’amusant comme un fou avec dans son sillage Jean-Michel et René qui doivent se dire « comment fait-il ». Je me remets en selle bien décidé à en finir ; dés les premiers lacets, le vent est présent, soufflant par bourrasques. Au loin, dans un virage, je reconnais José qui revient lentement mais surement sur Pierre. Je voudrais hausser le rythme mais comme l’émission de télévision, il faut la tête et les jambes et ce 19 mai 2012, j’ai la tête ailleurs et je n’ai plus de jambes ! Un coup d’œil vers la stèle Tom Simpson … « Le drame survient le 13 juillet 1967 sur les pentes du mont Ventoux, écrasées par le soleil. Alors qu\’il venait d\’aborder la partie la plus dénudée et la plus exposée de la montée, à moins de 3 kilomètres du sommet, il vacille sur son vélo et tombe. Remis en selle, il parcourt encore 400 à 500 mètres environ dans un mouvement de pédalage indécis, le regard vitreux, déjà privé de conscience… et il chute de nouveau, inanimé cette fois. On le tire sur l\’accotement caillouteux, couché sur le dos. C\’est un corps sans vie, déjà, que l\’on transporte dans l\’hélicoptère de la gendarmerie, venu se poser à proximité, sur la pierraille. Transporté à l\’hôpital Sainte-Marthe en Avignon, tout proche. L\’on poursuit les soins. En vain. A 17 h 40, Tom Simpson est officiellement décédé. »
Dernier kilomètre, j’aperçois Dany venu à ma rencontre – il ne perd pas ses bonnes habitudes – il me demande « Et …Guy » ; « je ne sais pas » lui dis-je. Il en profite pour prendre une photo ! Quelle idée ! Le trésorier du club avec sa tête des mauvais jours, un Big Moustache en bataille contre le vent, la raideur de la pente. La mobylette retournera jusqu’au Chalet pour attendre notre valeureux Guy.
500, 400, 300, 200, 100 mètres, dernier virage, un coup de vent violent m’expédie de l’autre côté de la route. Je suis au sommet, je me faufile entre les voitures, les vélos et les piétons. J’aperçois les copains et avant même d’enfiler ma veste, mon bonnet et mes gants, je le dit (car je ne sais plus crier) bien haut et bien fort : « c’est la dernière fois que je grimpe le Ventoux ».
Descente prudente dans les premiers kilomètres car le vent est violent et il fait froid. A mi-parcours, c’est plus agréable et l’on peut s’éclater en slalomant entre les cyclistes prudents ou peureux ! Malaucène en vue, regroupement général « Chez Max » ; un 1er apéro en attendant Dany et Guy, un second dès leur arrivée suivi d’un bon repas. Retour vers Pierrelongue en peloton sous un soleil radieux.
Après une douche réparatrice, direction le restaurant pour notre dernière soirée. Apéros, vin et liqueur de la région accompagneront le menu du jour. Le tout agrémenté par quelques blagues, des rires et bien entendu, chacun à sa manière relatera sa montée du Géant de Provence. C’est tard dans la soirée que nous regagnerons nos chambres ; j’ai rêvé pendant la nuit que je grimpais le Ventoux … ce n’était pas un rêve en 2012 mais un cauchemar !
14/05/2012 – René GODFRIND- Samedi 12/05/2012 : Photos de la Gorge du Loup
13/03/2012 – Bernard CLAUSSE- Samedi 10/03/2011 : Willancourt
Pas encore de grande sortie pour moi en 2012 et il faut bien préparer la « José Cambrai » du 17/03/2012. Ce WE j’opte donc pour la rando qui nous mènera de Vaux à Willancourt avec départ et retour à Libramont. Arrivé à Vaux, je constate que nous serons 7 ce samedi : José, JF2, René, Jean-Michel, Pascal, Dany et moi-même. Je constate aussi que de bien beaux nouveaux vélos ont fait leur apparition dans le peloton des VP Vaux SS. Direction Léglise et Thibesart. Là, un des nouveaux vélos joue au récalcitrant : un guidon mal serré offre une petite frayeur à son propriétaire, surtout quand cela se passe en descente. Nous suivons l’autoroute jusque Houdemont. Ensuite direction Etalle, Chantemelle, Meix-le-tige et Willancourt au bout d’une longue descente. Je n’avais jamais été à Willancourt et après une première visite dans ce bout du monde, je n’y passerais pas mes vacances. On s’inscrit, nous faisons 3 petits tours, nous nous restaurons et repartons presque aussi vite. La remontée vers Meix-le-tige ne se fera pas à la même allure que la descente. Un petit crachin nous accompagne sur le chemin du retour (le même qu’à l’aller). Petites bosses et mauvaises routes sont au menu et étirent de temps en temps notre petit peloton. Nous constatons aussi que les bas-côtés des routes sont vraiment « dégueu… » : Wallons rimerait-il avec cochons ? A Ebly, José, Dany et moi-même prenons la route de Longlier pour rentrer à Libramont : au total, 128 km et des jambes un peu lourdes le lendemain. Prêt pour samedi ? On verra !
22/02/2012 – Jean-Michel WUIDAR – Sortie à Termes du 19/02/2012
Il est 6h du matin, je sors de l’usine, première surprise, un copain gratte le pare-brise de sa voiture sur le parking. La mienne n’a rien. Je remonte le château de Colmar-Berg, connu des randonneurs de « La gorge du loup »14%, arrivé dans le bois, premier virage et 2ème surprise, ma voiture glisse. Cela ne laisse rien présager de bon pour la première randonnée officielle à Prouvy. Rien n’est salé au Grand-duché et certains endroits sont très glissants et il y a même de la neige.
Je rentre enfin à la maison et me décide tout de même à aller au rendez-vous à Vaux. Petit soulagement, en passant devant chez René, je vois de la lumière mais rien chez Claude. J’arrive sur le parking de l’Oasis à 7h20 et 3ème surprise, pas de Guy non plus. Qui était pourtant inscrit. Je téléphone à René avant de sortir mon vélo de la voiture, mais pas de réponse. Tant pis, je commence à me préparer et au moment où je partais pour aller jusque chez René, le voilà qui arrive. Je lui signale que les routes sont glissantes, pas les grands route s me répond t-il et on démarre à deux. Il me dit qu’il a fait 91 Km le jour avant avec Jaques alors qu’il n’avait plus roulé depuis Mohret.
Notre groupe va grossir peu à peu à chaque rond-point. A celui de l’autoroute, Pascal et André nous rejoignent à celui de Longlier c’est José et enfin à celui de Neufchateu, c’est Pierre qui vient compléter le groupe. Nous quittons Neufchateu avec un peu de retard sur l’horaire prévu.
Jusqu’à Terme, nouveau point de départ de la randonnée au lieu de Prouvy, aucun problème n’empêche le groupe de filer vers sa destination. En arrivant à Terme, pas un seul « Jaunes » en vue alors nous allons nous inscrire et prendre un petit café. Plusieurs minutes après, notre Cyril débarque avec les mains bien noires de graisse, il a connu un problème de chaîne ou de dérailleur.
Après une bonne pause, nous démarrons donc à sept, nous avons un peu froid car l’arrêt a été un peu long, mais après une petite côte, tout le monde c’est réchauffé et c’est tant mieux car des côtes, il n’y en aura pas tant. Un parcours de 25 Km assez roulant. De retour à Terme, nous faisons un arrêt moins long, juste le temps de reboire un café. Nous quittons Cyril et repartons vers notre point de départ.
Aucun problème jusque la côte de Neufchateau qui fera bien du mal à certains, Pascal, debout sur les pédales dépasse René en début de côte. Mais le dernier virage avant d’arriver sur la place sera très pénible pour lui. Pierre nous quitte donc le premier puis José, qui voulait revenir à Vaux avec nous va changer d’avis et nous quitte à Longlier ainsi que André, qui était venu en voiture jusque là car les routes étaient verglacées chez lui le matin.
Pascal nous quitte le dernier à la station essence de l’autoroute mais va nous rejoindre en voiture à Vaux pour l’inévitable apéro chez Rose.