La traceuse à la chaux que nous utilisons depuis quelques années pour nos circuits a été mise au point par notre regretté Albert Louvigny en vue de la Fête de Clôture des Montagnardes 2007; Un autre membre, Jean-Claude Leyder, y a apporté quelques modifications cette année, si bien que nous possédons actuellement un outil très performant, qui économise beaucoup de temps et de personnel…
La chaux contenue dans le bac d\’alimentation est entraînée vers le tuyau de distribution par un mélangeur et une vis-sans-fin.
Les deux moteurs sont commandés par un bouton-poussoir qui se trouve à l\’intérieur de la voiture; l\’alimentation électrique se fait au départ de l\’allume-cigares de la voiture.
Afin d\’assurer un très bonne adhésion de la chaux sur la chaussée, deux gicleurs humidifient celle-ci juste devant le tuyau d\’arrivée de chaux… Bien sûr, si la route est humide suite à un orage par exemple, il est inutile de faire fonctionner ces gicleurs puisque l\’adhésion sera de toute façon de bonne qualité.
Une réserve d\’eau est ainsi emportée au départ du traçage, quitte à assurer un remplissage en cours de route, si nécessaire…
Le traçage devant se faire à une vitesse assez réduite pour une bonne visibilité de celui-ci, un panneau avertit les autres usagers de la route du déplacement plus lent du véhicule utilisé.
Si bien qu\’avec un tel équipement, une seule personne peut très facilement tracer un 200 km, pour peu, bien sûr, qu\’elle connaisse le circuit…